Le télescope spatial James Webb est le plus grand et le plus puissant télescope jamais lancé dans l’espace. Il emboîte le pas du télescope spatial Hubble en constituant le prochain grand observatoire scientifique spatial, conçu pour répondre aux questions les plus essentielles sur l’Univers et faire des découvertes révolutionnaires dans tous les domaines de l’astronomie. Il a été lancé par la fusée européenne Ariane 5, spécifiquement adaptée pour ce satellite d’exception, le 25 décembre 2021.

Après-midi de conférences avec :
️Challenges du lancement d’Ariane 5, présentée par Isabelle Rongier, Inspectrice générale, ArianeGroup
️Premières percées scientifiques, présentée par Markus Kissler-Patig, Chef de département à la Direction Sciences, European Space Agency – ESA

➡️Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles ou à suivre en direct sur la chaîne Youtube de la Cité des sciences et de l’industrie: https://url-r.fr/GtHqB

Le télescope spatial James Webb est le plus grand et le plus puissant télescope jamais lancé dans l’espace. Il emboîte le pas du télescope spatial Hubble en constituant le prochain grand observatoire scientifique spatial, conçu pour répondre aux questions les plus essentielles sur l’Univers et faire des découvertes révolutionnaires dans tous les domaines de l’astronomie. Il a été lancé par la fusée européenne Ariane 5, spécifiquement adaptée pour ce satellite d’exception, le 25 décembre 2021.

Après-midi de conférences avec :

• Challenges du lancement d’Ariane 5
  par Isabelle RONGIER, Inspectrice générale, ArianeGroup
• Premières percées scientifiques
  par Markus KISSLER-PATIG, Chef de département à la Direction Sciences, ESA

Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles.

ou à suivre en direct sur la chaîne Youtube de la Cité des sciences et de l’industrie

Conférence présentée par Jean-Christophe Lambert, Cofounder & CEO, Ascendance

L’objectif de la neutralité́ carbone des avions, fixé à l’horizon 2050, ne pourra être atteint sans une collaboration étroite entre compagnies aériennes, fournisseurs d’énergies, industriels, organismes publics de R&D et startups. Là où les compagnies aériennes, bridées par leur legacy, travaillent sur des projets à moyen et long terme et des technologies peu disruptives, nous, startups, testons des technologies de ruptures sur des petits modèles. Convaincus que la solution à la décarbonation de l’aviation repose sur la frugalité́ et la décarbonation des énergies, Ascendance a, développé une technologie brevetée reposant sur un mix énergétique hybride électrique et thermique à base d’énergies durables. Convaincus aussi de l’intérêt des aéronefs, l’entreprise développée un appareil capable de décoller et atterrir comme un hélicoptère grâce à des batteries et de voler comme un avion via de l’énergie thermique. Jean-Christophe Lambert, CEO @Ascendance est ravi de venir partager sa vision de l’aviation de demain, ses ambitions mais aussi son analyse du secteur et des solutions qui permettront de réduire significativement l’impact carbone.

➡️Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles
👉Plus d’infos : https://url-r.fr/gjKXD
Conférence organisée par l’Académie de l’air et de l’espace – Air and Space Academy en partenariat avec la Mairie de Toulouse et la bibliothèque de Toulouse.

Conférence présentée par Nicolas JEULAND, expert émérite « impact environnemental de l’aviation et Carburants futurs », Safran, correspondant AAE

L’industrie aéronautique s’est engagée à la neutralité carbone à l’horizon 2050. Pour cela, l’industrie aéronautique travaille sur 3 leviers principaux : l’amélioration constante de l’efficacité énergétique de la flotte, notamment par le développement d’aéronefs ultra-efficaces, l’optimisation des opérations (en vol, mais aussi en sol) et la substitution des carburants fossiles par des solutions bas carbone. Dans cette dernière catégorie, les SAF (Sustainable Aviation Fuels) ou CAD (Carburants d’Aviation Durables) ont un rôle crucial à jouer car ils permettent une décarbonation immédiate des flottes existantes et futures. Cette conférence vise à faire le point sur ces carburants (types, ressources utilisées, procédés de production). Le développement sera notamment discuté, en mettant en lumière le potentiel de ces filières, mais aussi leurs limites (disponibilité de la ressource, coût). Les mécanismes de soutien aux développements de ces filières seront enfin discutés.

📍Faculté de droit et science politique – université de Bordeaux, amphithéâtre ELLUL #Bordeaux
➡️En présentiel – Inscription gratuite et obligatoire
👉Plus d’infos : urlr.me/nGhRK

Conférence organisée par l’Académie de l’air et de l’espace en partenariat avec la Région Nouvelle-Aquitaine , l’ Université de Bordeaux. L’ Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN) s’associe à ce cycle de conférences.

Le métier de pilote d’essais est un « petit métier». Il doit exister en France, en activité, moins de cent pilotes d’essais. Certains travaillent pour l’état, au sein de DGA EV, d’autres pour les constructeurs : Airbus, Dassault, Daher.

Bien sûr, il s’agit d’essayer des prototypes qui n’ont jamais volé, mais aussi des avions dérivés, modifiés ou avec de nouvelles configurations. Mais un pilote d’essais a aussi d’autres tâches importantes, comme la définition des systèmes, en liaison avec les bureaux d’études. En pratique, il a toujours une équipe et le binôme principal est l’INE : Ingénieur Navigant d’Essais. Le rôle de ce binôme est de comprendre, expliquer traduire en termes techniques les éléments ressentis en vol lors des essais et de contribuer, au cours des discussions avec les ingénieurs programme du bureau d’études, à trouver la bonne solution technique., l’essayer en vol, etc… Le pilote d’essais assure un important travail de relations avec les clients ou de la promotion vis-à-vis de clients futurs éventuels.

Après-midi de conférences avec :

➡️« Testeur de voilures tournantes : X3, Racer, … » par Dominique FOURNIER, ingénieur navigant d’essais, Airbus Helicopters

➡️« Les traînées des aéronefs : quel impact sur le climat ? » par Yves KERHERVÉ, ancien pilote d’essais de Dassault Aviation, membre de l’AAE

Évènement organisé par l’Académie de l’air et de l’espace en partenariat avec la Cité des sciences et de l’industrie

La conférence « Lutte Anti-Drones, où en sommes nous? » se concentre sur l’exploration des stratégies et des technologies de lutte contre les drones, en particulier dans le contexte des attaques en essaim. Une attaque en essaim se réfère à un scénario dans lequel plusieurs drones sont utilisés simultanément pour mener une activité coordonnée et potentiellement malveillante.

L’objectif principal de cette conférence est d’examiner les différentes contre-mesures contre les drones et de comprendre leur impact potentiel pour contrecarrer les attaques en essaim. La conférence vise à rassembler des experts, des chercheurs et des professionnels de l’industrie pour qu’ils partagent leurs connaissances et leurs points de vue dans ce domaine qui évolue rapidement.

Grâce à des présentations, des tables rondes et des sessions interactives, les participants pourront acquérir des connaissances précieuses dans les domaines suivants :

Technologies anti-drones : La conférence présentera les dernières avancées en matière de technologies anti-drones, telles que les systèmes radar, les capteurs de radiofréquences (RF) et les systèmes de détection optique. Ces technologies visent à détecter, suivre et atténuer la menace que représentent les drones.

Considérations juridiques et politiques : La conférence abordera également les implications juridiques et politiques de la lutte contre les drones. Les participants étudieront les réglementations régissant l’utilisation des technologies de lutte contre les drones et les considérations éthiques liées à la protection de la vie privée et à la sécurité.

Études de cas : La conférence présentera des études de cas réels d’attaques en essaim et les efforts anti-drones déployés pour les atténuer. Les experts analyseront les tactiques et les stratégies employées par les attaquants en essaim et discuteront de l’efficacité des différentes contre-mesures.

Possibilités de collaboration : Les participants auront l’occasion de participer à des séances de réseautage et de rencontrer des organisations de premier plan spécialisées dans les technologies anti-drones. Cela favorisera la collaboration et le partage des connaissances entre les participants afin de lutter collectivement contre l’évolution des menaces posées par les drones et les essaims.

Dans l’ensemble, la conférence vise à doter les participants de connaissances de pointe et d’idées pratiques pour développer des stratégies et des technologies anti-drones complètes. En explorant les moyens de contrer les attaques d’essaims, la conférence vise à contribuer à la création d’un environnement plus sûr face aux menaces émergentes que représentent les drones.

L’arme laser anti-drone HELMA-P a prouvé son efficacité à maintes reprises lors de campagnes d’essais en France et à l’étranger.
HELMA-P atteint sa cible avec 100% de réussite, neutralisant un drone à une distance de 1 km en quelques secondes.

La DGA a acquis un exemplaire destiné à être déployé lors des Jeux Olympiques de Paris, dans le cadre du Système provisoire de sécurité aérienne mis en place par l’Armée de l’air et de l’espace.
Les travaux de développement de ce modèle ont porté sur la sécurité opérationnelle, dont héritera le produit de série disponible en 2025.
Parallèlement, grâce aux caractéristiques de cette arme laser, capable de concentrer toute l’énergie du faisceau sur une pastille de la taille de 2 euros, il a été possible de définir les conditions d’une utilisation opérationnelle sûre.
Lors de la conférence, Laurent TARD fera une présentation détaillée de la mise en œuvre sécurisée de cette arme et du retour d’expérience de son utilisation.

Laurent TARD est un ancien officier de l’armée française, où il a servi pendant 27 ans.
Responsable commercial depuis 4 ans chez CILAS, il est en charge de la commercialisation de l’arme laser anti-drone HELMA-P.
Il s’occupe notamment des questions de sécurité liées à son utilisation dans un environnement opérationnel et de la gestion du risque opérationnel.

Intervenants confirmés :

Laurent Tard, CILAS développe, industrialise, fabrique et commercialise une large gamme de produits et systèmes pour la défense, la sécurité, l’espace et l’industrie. La société est également impliquée dans les grands programmes laser scientifiques et industriels.

David Marin Drones XTR Société spécialisée dans la détection de drones sur sites sensibles

Yves Robins, Consultant. Ancien directeur des Affaires Européenne et Otan de Dassault Aviation.

Renseignements: 06 48 23 76 65

Conférence présentée par Alexis Rouillard, chercheur CNRS, IRAP et Philippe Louarn, directeur de recherche CNRS, IRAP
📅RDV 24 sept. 2024 à 18h00 📍Médiathèque José Cabanis, #Toulouse

Pourquoi l’atmosphère du Soleil est-elle deux cents fois plus chaude que sa surface? Comment les vents et orages solaires sont-ils créés ? Pour répondre à ces grandes questions en astrophysique les sondes spatiales Parker Solar Probe et Solar Orbiter sont parties en 2018 et 2020 à la découverte de l’environnement proche du Soleil: la couronne solaire. Après plusieurs années d’observations, elles ont mis en évidence, tout près du Soleil, un environnement extrêmement dynamique constamment perturbé par des éjections de matières et apportent ainsi de nouveaux indices sur la formation des vents et orages solaires.

➡️Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles
👉Plus d’infos : https://urlz.fr/rcIi

Conférence organisée par l’Académie de l’air et de l’espace en partenariat avec la Cité de l’espace, l’Association des Amis de la Cité de l’Espace, la Mairie de Toulouse et la bibliothèque de Toulouse.

Conférence présentée par Michel Blanc, professeur émérite, IRAP, Université de Toulouse, président du « Panel sur l’Exploration » du COSPAR, membre de l’AAE

L’exploration lunaire est la première étape vers les futures missions humaines vers Mars. Elle a également ses propres objectifs : recherche scientifique, exploitation des ressources locales, services aux astronautes, jusqu’à peut-être du tourisme. À une époque de sensibilisation accrue à l’environnement sur notre propre planète, agences spatiales et acteurs privés, avec le concours de diverses organisations internationales, doivent construire ensemble, sous les auspices des Nations unies, une utilisation équilibrée, équitable et durable des ressources lunaires qui préservera pour les générations futures le patrimoine commun de l’humanité sur la Lune.

Conférence organisée par l’ Académie de l’air et de l’espace en partenariat avec la Cité de l’espace, l’Association des Amis de la Cité de l’Espace, la Mairie de Toulouse et la bibliothèque de Toulouse.

Entrée libre et gratuite dans la limite des places disponibles.