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L’IPSA et l’IPSOS inaugurent le premier Observatoire des métiers de l’air et de l’espace

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Ce mardi 14 novembre, l’IPSA et l’institut IPSOS ont organisé une grande conférence au Campus Paris Centre du Groupe IONIS pour dévoiler les résultats du premier Observatoire des métiers de l’air et de l’espace. Fruit d’une grande enquête réalisée auprès de plus de 200 dirigeants d’entreprises et destinée à être renouvelée tous les deux ans, cet Observatoire permet de prendre la température d’un secteur aéronautique et spatial dynamique et constamment tourné vers l’innovation.


Francis Pollet, directeur général de l’IPSA et Federico Vacas, directeur adjoint du département politique et opinion d’IPSOS France


Besoins et profils des ingénieurs recherchés, avis sur les jeunes diplômés, perspectives d’avenir, évolutions technologiques à suivre…  L’intégralité des résultats est désormais consultable en ligne au format PDF ! Pour télécharger l’enquête de ce premier Observatoire des métiers de l’air et de l’espace, cliquez sur ce lien.

Quelques enseignements…


Les attentes des chefs d’entreprise de l’air et de l’espace sont au cœur de ce premier Observatoire de l’IPSA et de l’IPSOS. Ainsi, il est confirmé que ces dirigeants se focalisent désormais davantage sur des jeunes ingénieurs possédant une forte capacité d’adaptation, d’intégration et d’apprentissage, plutôt que sur des profils au savoir purement académique.



Cette tendance est corroborée au sein même des entreprises. Ainsi, plus de 9 dirigeants sur 10 estiment que les jeunes diplômés d’écoles d’ingénieurs recrutés ont une bonne capacité à apprendre et progresser en interne (92 %) et à s’intégrer à une équipe (91 %).



Ce premier Observatoire conforte aussi l’idée selon laquelle l’aéronautique et le spatial se veulent bien plus optimistes que d’autres grands secteurs de l’industrie. Ainsi, malgré un contexte économique plutôt morose, une écrasante majorité de dirigeants de l’air et de l’espace (94 %) estime que le secteur se porte bien, voire très bien pour 20 % d’entre eux.



Une confiance en l’avenir qui s’accompagne évidemment de besoins en recrutement importants et variés. Bien que concernant surtout des profils ingénieurs (89 %, dont 94 % dans les entreprises de plus de 200 salariés), ces recrutements s’adressent aussi aux techniciens supérieurs (84 %, dont 88 % pour les structures de plus de 200 salariés), opérateurs et mécaniciens (80%), et dans une moindre mesure aux profils Bachelors technologiques (63 %, mais 70 % dans les entreprises de « construction aéronautique et spatiale »).



Envie d’en savoir plus ? Consulter ce premier Observatoire des métiers de l’air et de l’espace en cliquant sur ce lien.



L’Observatoire des métiers de l’air et de l’espace vu par Francis Pollet, directeur général de l’IPSA

« Ce premier observatoire permet à l’IPSA de tirer trois grands enseignements. En premier lieu, et cela conforte nos choix, l’importance accrue accordée par les professionnels aux capacités et aux compétences, allant bien au-delà des indispensables connaissances. Les chefs d’entreprise du secteur aéronautique et spatial ont avant tout des attentes à l’égard des jeunes ingénieurs sur leurs capacités plutôt que sur leurs seules connaissances.
Ensuite, et je ne peux qu’être qu’heureux d’un sentiment qui est là confirmé par plus de 200 professionnels représentatifs des métiers du secteur, un véritable optimisme concernant sa santé, ses potentiels de développement et donc ses capacités à recruter.
Enfin, et c’est l’un des indicateurs de la bonne santé des univers de l’air et de l’espace, l’affirmation claire par les professionnels de besoins en recrutement qui sont tout autant influencés par les dynamiques de l’innovation que par celles de la production. À nous, aux équipes de l’IPSA, à nos enseignants et à nos chercheurs, de tirer également les conclusions de cette étude afin, plus que jamais, de faire que nos futurs diplômés soient à l’unisson du présent et surtout de l’avenir. »