Replica watches
chaire sirius space tals 24 space business law conference 728
Enac ecole nationale de l'aviation aeromorning
Liebherr Aerospace
Collins aerospace aeromorning 2024
Groupe-Liebherr-aeromorning.com
chaire-sirius-space-tals-24-space-business-law-conference-728
enac-aeromorning-slider
Liebherr Aerospace
collins-aerospace-aeromorning-2024
Le convertisseur de puissance électrique pour poste de pilotage de Liebherr à bord des familles Airbus A320 et A330
liebherr
chaire sirius space tals 24 space business law conference
Collins
AirFormation centre de formation Aeronautique
chaire-sirius-space-tals-24-space-business-law-conference
Collins
AirFormation-e-learning-centre-formation-aeronautique
previous arrow
next arrow

Thales Alenia Space remporte un contrat

FacebookTwitterLinkedInPinterest

Thales Alenia Space remporte un contrat d’étude pour le développement
d’une charge utile d’extraction d’oxygène sur la Lune


Thales Alenia Space a été sélectionné par l’Agence spatiale européenne pour développer un démonstrateur de charge utile dont la mission sera d’extraire de l’oxygène à partir de roche lunaire pour soutenir la vie humaine sur le sol sélène


Bristol, le 23 février 2022 – Thales Alenia Space, société conjointe entre Thales (67%) et Leonardo (33%), a signé un contrat d’étude d’un million d’euros avec l’Agence spatiale européenne (ESA) portant sur le
développement d’un concept de charge utile d’extraction d’oxygène à partir de roche lunaire.
Pour pouvoir résider durablement sur la Lune, les astronautes devront exploiter les ressources qu’ils trouveront in situ plutôt que de les transporter depuis la Terre. C’est le cas par exemple de l’oxygène. Les
équipes de Thales Alenia Space au Royaume-Uni ont collaboré avec AVS, Metalysis, l’Open University et Redwire Space Europe pour définir, dans le cadre d’une mission lunaire de l’ESA, un démonstrateur de charge utile qui utilise du sel fondu et l’électrolyse pour extraire de l’oxygène à partir de roche lunaire, ou « régolite ».
Ce concept de charge utile, sélectionné parmi les propositions des nombreux consortiums industriels en lice pour le contrat de l’ESA, devra valider la capacité d’utilisation des ressources in situ (ISRU – In Situ Resource Utilisation), en l’occurrence la production d’oxygène, dans les quantités requises par les futures colonies lunaires.
Andrew Stanniland, CEO de Thales Alenia Space au Royaume-Uni, a déclaré : « Ce contrat est vraiment passionnant car l’adaptation à l’environnement spatial de procédés et outils qui nous semblent naturels sur Terre sera critique pour notre avenir dans de nombreuxdomaines.

Je suis fier que nos équipes dédiées aient été choisies pour mener à bien cette étude avec nos partenaires – AVS, Metalysis, l’Open University et
Redwire Space Europe – dans le but de relever le défi complexe de créer de l’oxygène sur la Lune pour y permettre la vie humaine. »
David Binns, Ingénieur systèmes au Centre de conception pluridisciplinaire de l’ESA, a ajouté : « L’ESA se réjouit de collaborer avec Thales Alenia Space au Royaume -Uni et ses partenaires pour développer un démonstrateur d’extraction d’oxygène au titre de l’initiative d’exploitation des ressources spatiales. Cette étude vise à relever les défis inhérents à l’exploration durable de la Lune. »


Thales Alenia Space au cœur du défi industriel lunaire
Thales Alenia Space, déjà responsable des systèmes thermomécaniques du Module de service européen (ESM) du vaisseau Orion, assure un rôle de tout premier plan dans la contribution de l’Agence spatiale européenne à la station spatiale cislunaire Gateway, avec le développement des modules I-HAB (International – Habitat) et ESPRIT (European System Providing Refuelling, Infrastructure and Telecommunications). Pour Northrop Grumman, Thales Alenia Space

THALES ALENIA SPACE développe également le module pressurisé de HALO (Habitation And Logistics Outpost), l’un des deux premiers
éléments de la Lunar Gateway qui seront lancés d’ici la fin 2023.
La station spatiale cislunaire Lunar Gateway
La Lunar Gateway est l’un des piliers du programme Artemis de la NASA, destiné à établir une présence durable sur le sol sélène et une base de départ pour les futures missions d’exploration interplanétaire. Ce projet est mené dans le cadre d’une coopération internationale entre la NASA et l’ESA.

Assemblée pièce par pièce de manière automatique, cette station d’environ 40 tonnes évoluera en orbite NRHO (Near Rectilinear Halo Orbit) autour de la Lune. Elle sera équipée d’un bras robotique et de ports d’amarrage, et composée de modules dédiés à l’habitation longue durée des équipages, à l’alimentation en énergie, la propulsion, la logistique et les communications.

Elle n’a pas vocation à être occupée en permanence, mais pourra accueillir jusqu’à 4 astronautes à la fois pendant un à trois mois . L’expérience
acquise sur et autour de la Lune aidera la NASA à préparer l’envoi des premiers astronautes vers Mars à l’horizon 2030, et la Gateway jouera un rôle clé dans ce processus.


Des études pour une présence humaine durable sur la Lune
Parallèlement aux projets en cours, Thales Alenia Space a également été sélectionné pour étudier des solutions avancées devant permettre d’établir une présence durable de l’Homme sur la Lune. L’une de ces études visionnaires porte sur le grand atterrisseur logistique européen EL3 (European Large Logistic Lander), une composante distincte des activités internationales d’exploration lunaire. Imaginé pour soutenir un large éventail de missions, ce système polyvalent pourrait servir à acheminer du fret et des moyens logistiques au profit des missions Artemis de la NASA,
avant de permettre à l’Europe de mener une mission indépendante d’exploration du pôle Sud de la Lune, à l’aide d’un laboratoire robotisé dérivé du rover collecteur d’échantillon SFR (Sample Fetch Rover)

Source: Thalès Alenia Space