Replica watches
Enac ecole nationale de l'aviation aeromorning
Liebherr Aerospace
Collins aerospace aeromorning 2024
Groupe-Liebherr-aeromorning.com
enac-aeromorning-slider
Liebherr Aerospace
collins-aerospace-aeromorning-2024
Le convertisseur de puissance électrique pour poste de pilotage de Liebherr à bord des familles Airbus A320 et A330
liebherr
Collins
AirFormation centre de formation Aeronautique
Collins
AirFormation-e-learning-centre-formation-aeronautique
previous arrow
next arrow

S’équiper d’exosquelettes, ça se prépare

news actualités aéronautique aeromorning
FacebookTwitterLinkedInPinterest

Bras articulés, jambières, armatures intégrales… Robotisés ou non, les exosquelettes ont récemment fait leur apparition dans de nombreux secteurs d’activité (l’industrie automobile, la logistique, le transport, le BTP…). Conçus pour assister physiquement les salariés dans l’exécution de certaines tâches et améliorer les conditions de travail, ces dispositifs posent toutefois de nouvelles questions relatives à la santé et la sécurité. L’Institut national de recherche et de sécurité (INRS) qui mène des travaux sur l’intérêt et les limites de l’utilisation des exosquelettes lance une nouvelle offre d’information pour accompagner les entreprises dans l’acquisition et l’utilisation de tels dispositifs.

Arrivés récemment dans les entreprises, les exosquelettes désignent tout système mécanique ou textile à contention, revêtu par une personne pour l’assister physiquement dans l’exécution d’une tâche, par une compensation de ses efforts et/ou une augmentation de ses capacités motrices.

Des entreprises de toutes tailles et de différents secteurs d’activités se lancent aujourd’hui dans l’expérimentation, voire l’acquisition d’exosquelettes pour gagner en productivité, innover ou améliorer les conditions de travail. Si les premières études expérimentales démontrent que ces nouvelles technologies d’assistance physique peuvent s’avérer efficaces pour limiter les contraintes musculaires, leur usage en situation réelle de travail soulève néanmoins de nombreuses questions pour la prévention des risques professionnels liés à la charge physique et, en particulier des troubles musculosquelettiques (TMS). « Loin d’être une solution clé en main, le recours à ces aides doit s’intégrer dans une véritable démarche de prévention. Les effets de leur introduction à un poste de travail doivent être évalués et suivis dans le temps. » avertit Jean-Jacques Atain-Kouadio, ergonome à l’INRS.

En parallèle de ses travaux de recherche sur le sujet, l’INRS lance une nouvelle offre d’information pour apporter aux entreprises des éléments de compréhension avant qu’elles n’équipent leurs salariés.

Se poser les bonnes questions avant de recourir aux exosquelettes 

Pour aider les futurs acquéreurs à mieux anticiper les conséquences de l’utilisation des exosquelettes sur la santé et la sécurité, l’INRS publie un guide intitulé « 10 idées reçues sur les exosquelettes ».

« Les exosquelettes sont la solution contre les risques de TMS », « Les exosquelettes sont tous des robots », « Les exosquelettes augmentent la force du salarié »…  Autant d’idées reçues auxquelles ce guide permet d’apporter des réponses.

L’usage des exosquelettes : 6 points de vigilance et des repères en prévention 

Afin d’intégrer les bonnes pratiques de prévention le plus tôt possible dans leur démarche de prévention, les entreprises disposent également :