Toulouse, le 17 mars 2021 – ATR est déterminé à sortir plus fort de la crise du COVID en renforçant sa présence mondiale au cours de la prochaine décennie et en continuant d’offrir la solution la plus durable et moderne pour les voyages aériens régionaux.
En 2020, ATR a réagi rapidement aux circonstances en soutenant ses clients grâce à des solutions de conversion rapide en cargo, des tutoriels sanitaires ainsi que des consignes de stockage et de maintenance. Sur l’ensemble de ses sites, l’entreprise a mis en place des mesures opérationnelles et sanitaires.
L’an dernier, le constructeur numéro un mondial d’avions régionaux a livré 10 appareils et reçu six commandes brutes. Malgré des conditions de marché sans précédent pour les constructeurs d’avions, en 2020, neuf nouveaux opérateurs ont commencé à exploiter des ATR et 84 nouvelles routes ont été ouvertes. En outre, les opérateurs ATR ont lancé des services dans trois nouveaux pays. En décembre dernier, le premier avion cargo spécialement conçu pour le fret (ATR 72-600F) a été livré à FedEx.
Alors que le transport aérien est aux prémices de sa reprise, ATR dispose d’un plan clair et concret pour surmonter les difficultés actuelles tout en continuant à innover pour fournir des solutions durables et à la pointe de la technologie au service de la connectivité régionale.
Le plan de reprise d’ATR inclut :
- La mise en place d’améliorations incrémentales dans sa famille d’appareils, pour améliorer l’efficacité opérationnelle et réduire les coûts de maintenance via des mises à niveau des systèmes et une avionique de pointe, qui permettront de conserver l’avantage concurrentiel et environnemental offert à ses clients.
- A la suite de la livraison à FedEx du premier avion cargo spécialement conçu pour le fret, ATR est bien placé pour profiter de la résilience de ce marché, déjà revenu aux niveaux pré-Covid. Le fret aérien devrait doubler sa capacité au cours des 20 prochaines années, et les ATR représentent la plateforme idéale pour les livraisons express point à point.
- La version à décollage et atterrissage courts de l’ATR 42-600 permettra d’ouvrir une large palette d’opportunités dans les aéroports où les pistes d’atterrissage mesurent entre 800 et 1000 m.
- Environ 900 turbopropulseurs régionaux vieillissants devront être remplacés dans les années à venir, et des avions plus durables, plus rentables et plus modernes, tels que ceux proposés par ATR, peuvent assurer la rentabilité de leurs exploitants.
Stefano Bortoli, Président exécutif d’ATR, a déclaré : « 2020 a été une année difficile pour le secteur du voyage, et nous ne verrons pas d’amélioration avant la fin de l’année en cours. Cependant, la connectivité vitale offerte par le transport aérien régional tout au long de la crise a rendu ATR plus attractif pour l’Europe et l’Amérique du Nord, tandis que les turbopropulseurs continuent à représenter la solution optimale pour des régions moins bien desservies, comme l’Asie, l’Amérique latine et l’Afrique, où les infrastructures terrestres ne constituent pas une option satisfaisante. »
ATR a déjà volé avec un mélange de carburants d’aviation durables (SAF) et étudie plus en détail ses possibilités. Sans attendre l’introduction de nouvelles technologies de rupture, ATR va continuer à explorer de nouvelles solutions pour réduire davantage l’empreinte carbone de ses appareils.
La co-entreprise ATR est née avec pour mission de fournir un avion économique, à faible consommation de carburant, capable d’atteindre les petits aéroports ou les aéroports difficiles d’accès avec peu d’infrastructures et des pistes courtes, et il continue à innover en matière de technologie de pointe en s’orientant entièrement vers les besoins de ses clients et la nécessité de permettre à toutes les communautés d’accéder à l’économie mondiale, à la santé, à l’éducation et à la culture.
Source: ATR